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Eté 2015, nous sommes partis avec le van et la Vespa de Nantes vers le Lac de Serre ponton. On passe devant une brocante dans un village près du Puy en Velay. On décide de faire une petite pause histoire de se dégourdir les jambes et en même temps de visiter cette brocante. Sur le trottoir trône une MZ 250 qui m'interpelle. Je regarde le compteur kilométrique : 12 kms. Mazette !

Je l'occulte sous toutes les coutures, pas de traces de restauration quelconque. On voit très bien la cire d'origine sur toute la moto. Le brocanteur me raconte l'histoire de cette moto. Entreposée depuis sa fabrication jusqu'en 2014 dans un garage avec d'autres (neuves et non immatriculées). La vente de toutes ces motos s'est effectuée au Puy en Velay à la salle des ventes. Le brocanteur a acheté celle là. Les 12 kms, c'est lui qui les a fait sur le trottoir devant son magasin histoire de l'essayer. Je l'essaye donc et fait passer le compteur à 13 kms.

Maintenant la question que je me pose c'est surtout sur la possibilité de la faire immatriculer. Je convient avec le vendeur que je lui prends, mais ce sera dans 15 jours sur le chemin du retour.

Pendant ce temps ce sera coup de fil aux copains et recherche sur Internet pour être sûr de ne pas faire de bétise.

15 jours plus tard, elle trouvera sa place dans le van à côté de la Vespa pour un retour sur Nantes. Débute alors la procédure d'immatriculation avec la FFVE (fédération française des véhicules anciens) dossier à l'appui (facture d'achat du brocanteur et du commissaire priseur et dossier photo). 2 mois plus tard je reçoit le beau certificat de la FFVE qui va me permettre de demander une carte grise collection à la préfecture. La FFVE a également daté la moto car pas de date de fabrication sur la cadre, mis à part les numéros de série et le Made in RDA.

Le seuls travaux que j'entreprend sont de changer les pneus qui possèdent encore leurs picots mais qui sont secs. Je change également les chambres à air et les fois de jantes. Il manque un rayon que je commande. Ainsi que la pochette de joint et le kit de visserie, bougie, filtre à air.

Une fois assurée et immatriculée, j'essaye de la faire rouler. Une fois démarrée, elle roule très bien mais le ralenti s'emballe à chaud et lors des décelérations. Après quelques recherches je trouve un atelier spécialisé dans les motos de l'Est. MEC Atelier à la Crèche près de NIORT. Je décide de leur confier la moto pour une fiabilisation.

 Environ trois semaines plus tard je passe la récupérer. La fiabilisation a consisté à changer la bobine d'origine par une bobine Bosch, à ajouter un régulateur électronique puis nettoyage du carbu aux ultra-sons, réglage de l'aiguille et de l'avance à l'allumage et essai.

Mr Tabuteau la démarre au premier coup de kick. C'est don confiant que je repars. Mes premiers essais n'ont pas été très concluants de part la difficulté à démarrer. Je le rappelle et cela le fait sourire et me ré-explique la procédure pour démarrer cette vieille demoiselle. ET en effet il faut suivre à la lettre la méthode pour un démarrage nickel. Sans quoi, elle se noie et là c'est un peu la galère.

Voilà maintenant c'est rodage, elle a 163 kms et le rodage se terminera quand elle aura environ 2000 kms. L'aiguille du carbu sera changée de position à ce moment là. Septembre 2017, je viens de passer les 1500 kms !

28-12-2012 - Quelques images de la révision des 90 000kms. Malgré la pluie, je vais faire un petit tour pour chauffer les huiles moteur, boite et pont. Juste avant j'ai préparé tout le matériel et démonté les valises et le sabot moteur.

La moto sur la table élévatrice, 5 vis à démonter et trois récipients pour recevoir les huiles usagées.

Détails ..

Maintenant, je laisse les dernières gouttes tomber et je remettrais les vis avec leurs joints neufs ainsi que les huiles neuves un peu plus tard. La vue du dessous du moteur m'invite à un grand nettoyage avant de remonter le sabot moteur.

Janvier 2013.

J'ai constaté que le support des valises  était en mauvais état. 90 000 kms à supporter les valises pratiquement jamais vides plus l'échappement qui envoie ses gaz sur une partie du tube...

Après avoir discuté avec mon gris, je lui ai confié mes supports une fois démontés (3 parties).

5 jours plus tard, je les ai récupérés après un sablage à nu du métal et une belle couche d'époxy noir sur toute la surface.

Résultat superbe et ce sera plus résistant qu'à l'origine. Ne reste plus qu'à faire encore au moins 100 000 kms avec la GS ...

Maintenant il est plus que temps de changer les amortisseurs d'origine, quand même 95000 kms de loyaux services !

Après moult reflexions, tergiversations, et renseignements sur forums, divers sites internet et discussion avec quelques motards ayant fait ce changement, et bien sûr étude de prix, mon choix s'est porté vers des amortisseurs EMC made in France.

Un coup de fil et après quelques conseils avisés du pro, trois clics et livraison prévue en début de semaine prochaine.

C'est arrivé :

Du beau matériel, Shock I pour l'avant et Shock II pour l'arrière avec double réglage

Voilà le chantier après démontage de la roue arrière, du silencieux d'échappement pour faciliter l'accès à l'axe de serrage de la partie basse.

Après nettoyage..

Un vieux rêve de gosse..

J'ai toujours aimé le tout terrain, dès que je vois un chemin qui part dans la campagne ou dans la montagne, je me dis à chaque fois, c'est là que j'ai envie d'aller..

Donc il est temps de passer au concret !

Recherche d'une bécane à boue sur le bon coin. Visites, coup de fils, essais, lectures forum, etc..

J'ai fini par touer une 250 Yamaha WRF de 2006 avec tout l'équipement pour démarrer en sécurité.

J'ai également trouvé un club pour m'accueillir.

Ma première sortie est fixée au 5 juillet.

Elles vont bien ensemble n'est-ce pas ?

Premier vrai test sur le terrain de cross d'Héric avec TT évolution pendant 2 heures de moto cross. Pas de gamelle mais deux heures de plaisir et un peu de poussière avalée.

Après un an et demi de sorties avec mon club enduro de Mouzeil, j'ai décidé d'arrêter l'enduro.

Peu être un peu trop vieux pour commencer cette discipline, mais j'ai réalisé mon voeux !

Vendue à un ami belge.

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Voilà un moment que je recherche un scooter en tôle et c'est vers le PX que mes recherches se sont concentrées. Pourquoi un PX, parce que c'est ce que l'on me conseille pour commencer, que l'on en trouve pas mal en occasion, les pièces sont disponibles et les possibilités de le transformer également.

J'avais un petit penchant vers un Lambretta mais beaucoup plus difficile à trouver et les modèles disponibles en occasion ne me plaisent pas.

Après quelques mois de recherches, de lectures sur forum et cie, d'annonces consultées, de véhicules visités suite à leur mise en vente, j'ai trouvé mon premier PX.

Je recherchai un modèle à refaire mais les occasions trouvées à près de 1500 euros n'étaient vraiment pas terrible et ne me donnait pas envie d'attaquer le chantier. A des pris plus bas, il s'agit souvent d'épaves ou de véhicules incomplets. J'en ai trouvé un très récent en fait mais qui me semble pas mal pour débuter avec frein à disque et pot SIP Road déjà monté avec gicleur de 98 pour gaver correctement le moteur.

Ne reste plus qu'à programmer son transfert de Vendée vers mon garage. 

1er Novembre : je vais chercher la guêpe. Bus train et retour avec le scoot sous la pluie histoire de faire connaissance. A peine arrivé à la maison, je passe au nettoyage dessus dessous, séchage à la micro-fibre et un léger polissage pour enlever quelques traces d'anciens autocollants.

Je ferai quelques photos dès que le temps se montrera plus clément.

Après quelques semaines de cohabitation, et quelques stickers plus tard, voici la bouille

du PX. La première modification suite à la rupture d'une vis est la suppression des rétroviseurs d'origine trop longs. Le trou est bouché par un obturateur au dessus chromé.

Et voici les nouveaux pneus pour l'hiver : Michelin City Grip Winter. J'ai commandé une jante de plus, de cette manière deux pneus avec les pneus d'origine : Michelin S83 pour l'été et deux pneus neiges pour l'hiver. La roue de secours se fera avec une des roues de l'autre monte selon la saison.

Une photo lors de la concentration des cafés racer en Vendée

Après plus de deux ans de loyaux services, j'arrête la Vespa pour me concentrer sur la moto.

Je garde ma 1150 GS et en deuxième monture la MZ à bricoler.

On verra dans quelques mois si je garde la MZ ou si je reviens à quelque chose de plus contemporain.